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This SACD remastering from Praga's Reminiscences series features pianist Sviatoslav Richter playing solo works by Franz Liszt. Richter's concert programs often included major works by Liszt, and his interpretations of these works often rivaled those of Horowitz, Arrau and Gilels. On this release, Richter's powerful and important Liszt legacy is revealed in the best possible sound quality available.
K**R
Great recording!
Wonderful performances by a legendary pianist
B**O
Five Stars
I think Richter is a wonderful and passionate pianist. This recording is terrific.
I**O
Richter's greatest Liszt Sonata in an excellent transfer
I'm surprised to find that I'm the first one to review this CD considering that it contains Richter's 1965 Liszt Sonata from Carnegie Hall in a new hybrid SACD transfer. Put simply, in my opinion this is the greatest recording of the Liszt Sonata you are ever likely to find. Certainly it is one of the best by any standard. It features Richter in his absolute prime. The virtuosity in the fast sections is unbelievable in its ferocity and intensity, and the slow sections are boldly taken with glacial tempi but are utterly spellbinding. Out of all the recordings I've heard, this one towers over almost all of them, including Arrau, Zimerman, Argerich, Horowitz, Levy, and Barere. The only other recordings that I would say are in this league are the live ones from Gilels in 1961 and 1965, but Gilels's slow sections seem brisk and almost a little perfunctory compared to the ethereal playing that Richter gives us here.Despite being advertised as hybrid SACD sound, I don't hear much of an improvement over the previous Palexa CD issue, but the good news is that the pitch is mostly fixed now. (The Palexa CD sounded almost a semitone flat.) In either case the sound is quite good enough for Richter enthusiasts. If you love the B minor sonata and for some reason haven't heard this performance yet, now's the chance to acquire it.
H**N
Three Stars
Reviewed n 1001 Classical discr you should hear. I don't relatre to it.
P**R
Nicht nur virtuoser, sondern musikalisch ideenreicher Franz Liszt
Die CD vereinigt viele der besten Klavierwerke von Franz Liszt. Von den zwölf "Études d'exécution transcendante" spielte Sviatoslav Richter deren acht, und zwar immer dieselben - die übrigen vier liess er beiseite. Die vorliegenden Aufnahmen entstanden bei drei verschiedenen Konzerten in den Jahren 1956 und 1957, fünf davon in Prag, die übrigen drei in Moskau. Die Tonqualität ist erstaunlich gut, und Richter ist in bestechender Form. Das kurze Preludio und die Studie in a-Moll geht er mit stürmischer Attacke an, das darauf folgende "Paysage" hingegen mit lyrischer Raffinesse. Das technisch sehr schwierige "Feux follets" ("Irrlichter") entwickelt unter seinen Händen einen magischen Sog. "La Chasse sauvage" ("Wilde Jagd") lässt die Verfolgung fliehenden Wilds und den Triumph der Jäger vor dem inneren Auge des Hörers erstehen. In der Studie in f-Moll werden weitgespannte Melodiebögen von virtuosem Figurenwerk umspielt. "Harmonies du soir" beginnt mit pastellartig hingehauchten Harmonien, schwingt sich in der Mitte des Stücks zu einem hymnischen Höhepunkt auf und verklingt in verhaltener Abendstimmung. Diese "Études" von Liszt sind nicht nur virtuose Prunkstücke, sondern zeichnen sich vor allem durch Ausdrucks- und Ideenreichtum aus."Aux Cyprès de la Villa d'Este, Threnody I" aus dem dritten Jahr der "Années de pèlerinage" ist eine in sich gekehrte, melancholische Elegie, die aber auch helle Momente aufweist. Ich kenne nur diese eine Aufnahme mit Richter, offenbar ist es eine kleine Rarität. Die Threnodie wurde 1956 in Moskau aufgenommen.Die "Valse oubliée" no. 3 stammt aus Franz Liszts letzten Lebensjahren. Sie ist kein typischer Walzer, sondern über weite Strecken fast schon impressionistische Klangmalerei. Erst nach mehr als zwei Minuten findet das Stück zu kurzen Passagen mit Walzerrhythmus. Die "Valse" wurde 1958 in Budapest aufgenommen, auch sie in guter Klangqualität.Am Anfang der CD steht Liszts grosse h-Moll-Sonate, aufgenommen am 18. Mai 1965 in der Carnegie Hall New York. Leider ist diese Aufnahme wegen der ungenügenden Klangqualität eine Enttäuschung, das Mikrofon scheint sehr ungünstig platziert gewesen zu sein, der Klang wirkt diffus und scherbelt. So lässt sich nur erahnen, dass Richter eigentlich grossartig gespielt hatte. Beim Label Palexa gibt es vom gleichen Konzert eine offenbar andere Aufzeichnung der Sonate (Angabe von Konzertort und -datum auf der Inhaltsübersicht der Palexa-CD), die akustisch viel besser ist: der Klang des Klaviers ist auf dieser CD nicht verzerrt.Da die Palexa-CD nur schwer erhältlich ist, empfehle ich für die h-Moll-Sonate folgende zwei Konzert-Mitschnitte mit Richter:- die Aufnahme aus dem Konzert vom 21. Juni 1966 beim Aldeburgh Festival, erschienen 2004 bei BBC Music, gekoppelt mit Werken von Franz Schubert und Frédéric Chopin. Dieselbe Aufnahme erschien früher (1989) bei Music and Arts Programs of America, zusammen mit Mozarts Klaviersonate KV 283 und Schuberts Sonate D. 575.- die Aufnahme aus einem 1988 aufgezeichneten Konzert, erschienen 2008 bei Decca in der Reihe "Richter the Master" (volume 10). Die Doppel-CD enthält weitere zehn Werke von Liszt sowie dreizehn Klavierstücke von Chopin (darunter zehn Préludes).
J**R
Incomparable
On est en droit de se demander si le génie peut investir l'interprétation quand Richter joue la sonate de Liszt. C'est ce que semblait affirmer le célèbre pédagogue H.Neuhaus, après l'avoir entendu pour la première fois, dans les années 1935-1936.Richter lui-même a toujours pensé que l'interprête doit simplement entrer dans la musique qu'il joue en y servant la vérité qu'il y trouve. Une vérité, pas "sa" vérité. D'où l'incroyable travail technique auquel il s'est soumis, jamais satisfait des moyens expressifs enrichis qu'il se donnait avec obstination.Cet enregistrement ne peut qu'émerveiller de la première à la dernière note. Faute de mots pour traduire la tension inouïe qui porte l'émotion au plus haut degré imaginable, je pense à quelque rêve prométhéen ou à la puissance poétique des coryphées dans la tragédie grecque...Peu importe, d'ailleurs. Richter rend à ce point de fulgurance la dimension prophétique de la "sonate en si" que même le choix de l'instrument, assez métallique comme souvent chez Richter, devient un atout inattendu.Je me refuse à isoler un moment particulier de ce CD probablement aussi unique, dans la discographie disponible, que les miraculeuses "Inventions" de Bach jouées par Glen Gould. Il y a une part de mystère à rencontrer des "maîtres" aussi proches de la perfection, non pas entendue comme achèvement, mais comme "ouverture" partagée à un monde ineffable.Ce disque mérite, sans comparaison possible, les cinq étoiles.
F**T
Fa-bu-leux !
Attendez-vous à tomber de votre siège à l'écoute de ce SACD, dès le début, avec la sonate en si donnée à Carnegie Hall en mai 1965. Non certes, le son n'est pas extraordinaire, mais l'interprétation est stupéfiante. Il s'agit d'un « live », bien qu'aucun bruit de salle ne soit audible et qu'aucun applaudissement ne soit présent à la fin. Donc, si l'on ne nous conte pas d'histoire, la prise de risque est quasi-suicidaire, mais l'on cherche (presque) en vain la moindre fausse note !Je ne me suis pas encore « amusé » à comparer ceci aux autres versions de Richter (toutes de concert) que je possède, la discographie de Paul Geffen en dénombre quatre, deux en 1965, deux en 1966, toutes disponibles en CD a priori, sauf la présente version ... mais d'autres sources mentionnent l'existence d'un CD Palexa (au programme très ressemblant, mais épuisé de toute façon). On ne peut donc que remercier Praga de nous « offrir » cette interprétation (en SACD qui plus est) qui atteint un niveau rarement entendu. On serait bien sûr tenté de chercher quelque comparaison avec Horowitz qui était lui aussi de nouveau à Carnegie Hall cette année-là, mais il ne la joua point à cette période ... et c'est donc dans ses enregistrements disponibles de 1932 (studio), 21 mars 1949 (Carnegie Hall) et 1976 (live) qu'il faut chercher ... mais ce n'est pas le cas, pas ou peu de points communs ... tout est ici simplement « inouï ».La suite du programme, huit des douze Etudes d'Exécution Transcendante (Richter ne les a pas toutes enregistrées), est issue de diverses sources, de 1956 et 1957 me semble-t-il d'après le livret ... toujours aussi mal fichu dans cette collection puisque les dates sont données dans un joyeux désordre à la fin du livret au lieu de les insérer au début dans le listing des oeuvres. Les prises de son sont assez disparates, il faut le dire, au sein de ce cycle, mais qu'importe, le discours est passionnant de bout en bout, avec une poésie et une tendresse particulières dans les « Harmonies du Soir ».Un extrait des Années de Pèlerinage, une Rhapsodie Hongroise et une des Valses Oubliées concluent ce disque sublime à acquérir dans l'urgence !
G**O
Ottima interpretazione ma scarsissima qualità audio
Il disco contiene ottime interpretazioni di Richter di varie composizioni di Liszt. Io l'ho preso perchè ero particolarmente interessato alla Sonata in Si Minore.Peccato che la qualità audio sia di scarsissima qualità. Mi sorprende che sia stato distribuito in SACD, quando la registrazione di partenza non necessitava affatto di riproduzione in alta definizione.
Trustpilot
4 days ago
1 month ago